25 août 1944… Charles De Gaulle disait :

« Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, Paris libéré »…

79 ans plus tard, n’ayons pas peur de reprendre les mêmes mots « Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé » mais en ajoutant Paris OCCUPE par des groupuscules facho de la mouvance gauche extrême qui n’a qu’un but « renverser les institutions » !

Il est INTOLERABLE, IRRESPONSABLE d’essayer de briser une unité syndicale par des actions « commandos » qui sèment la chienlit dans les rues de Paris le soir.

Merci à l’ensemble des syndicalistes pour leur encadrement dans le déroulé des manifestations. Merci aux forces de l’ordre qui les accompagnent.

L’histoire ne se réécrit pas !

Vous n’allez pas essayer de nous rejouer « Mai 68 » vous les anars en manque de vitrine, vous les bourges en mal de sensation, vous les black blocs déjantés, vous les « hooligans » de la politique !

J’étais à ASSAS, en mai 68, quand une horde de gauchos déambula dans l’amphi en vociférant des slogans anarchistes, révolutionnaires ! Il y avait le futur Dany le rouge et Jacques Sauvageot ! Je peux vous dire qu’ils furent très bien reçus…hués et chassés ! Oser la provoc chez des « fachos de droite »… Attention, ça chauffe les esprits !

Les images relayées, hier soir, comme les soirs précédents, par CNEWS ou BFM nous ont montré deux visages de meneurs : des mômes qui se défoulaient en cramant les poubelles dans des rues jonchées de détritus et qui, dans certains cas, se bagarraient avec les pompiers pour les empêcher d’éteindre les incendies… et d’autres, plus âgés (genre étudiant poursuivi par les études !), dont certains fringués comme des commandos de casseurs qui mettaient le feu à tout ce qui pouvait brûler, en balançant sur la chaussée matériaux de chantier et d’en découdre avec l’Ordre !

Encore une fois, la violence se mue en guérilla urbaine avec ses lots chroniques de destruction, d’affrontements, de blessés ! A quand la tragédie d’un mort dans les rangs des policiers, gendarmes ou des casseurs ? Je n’ose pas l’imaginer !

MACRON a une grande part de responsabilité dans ce conflit mais il n’est pas le SEUL ! L’usage du 49.3, en dernier ressort, montre la grande faiblesse des institutions. Comment parler de victoire quand la motion de censure transpartisane a été rejetée à 9 voix près ?

Et si il y avait eu adoption de la censure, qui voulait une dissolution ? Qui voulait d’un nouvel hôte à Matignon ? Qui voulait une cohabitation irrémédiable ? PERSONNE !

Quant à Madame HIDALGO, remettez les pieds sur terre ! Laissez vos convictions partisanes au vestiaire !

Votre RESPONSABILITE peut être engagée ! La sécurité des Parisiennes et Parisiens, c’est de votre fait ! Vous armez les ennemis de la république en leur fourbissant les munitions puisées dans les immondices !

Quelle sera l’issue du conflit ?

Comme avec les « gilets jaunes », « je laisse le pourrissement faire son œuvre ! »

Telle sera la ligne de conduite d’un Président déjà cramé après 11 mois de présence !