Je dois avouer que lorsque j’ai appris la nouvelle, je n’ai pas été surpris ! Mais je ne pensais pas qu’un « état d’urgence » de purification des lieux s’imposerait aussi rapidement.
Je n’ai rien d’un devin mais le « coup de force » était prévisible pour celles et ceux qui n’ont pas d’œillères de primo communiant(e)s ou atteint d’une forme de bigoterie assimilable à du clientélisme actif ou passif. Une vague rumeur circulait déjà concernant l’absentéisme de Monsieur le Maire et de son manque de communication.
Contrairement aux dires du rédacteur anonyme de l’article relatant les faits dans la presse locale, je n’ai pas abandonné le champ politique ! J’ai simplement repris de la hauteur (j’ai encore en mémoire le texte d’un mail où une certaine « hello dit »… la rédactrice, force vive de l’équipe d’hier, souhaitait me voir me casser la gueule de l’hélicoptère en faisant allusion à mon affiche de campagne…) et du large concernant la gestion de la commune de Lizy car tête de liste défaite en mars 2020, je ne pouvais pas espérer devenir crédible aux yeux des gagnants MAIS j’ai toujours gardé un œil sur l’évolution des tournures prises !
C’est assez marrant – façon d’écrire – que les événements vécus par Madame CONAN avec l’équipage de son premier adjoint en 2018 aurait eu un écho en 2021 ! A croire qu’il faille se méfier du choix de son premier adjoint !
Quelles belles affiches d’unité déclarées tant en 2018 qu’en 2020 lors des campagnes ! Aujourd’hui, après le bal du 14 juillet, voici le bal des faux culs !
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Comment peut-on penser sérieusement que seuls les faits reprochés (avérés ? Je ne le sais pas !) à Monsieur le Maire puissent être à l’origine de cette vague de démissions (13… Chiffre maléfique ?) dont la première adjointe, Madame Moussi-Le Guillou, du second adjoint, Monsieur Bertrand Giraudeau, de la cinquième adjointe, Madame Brigitte Da Silva et d’autres membres du Conseil Municipal dont je ne connais pas les noms… pour l’instant ?
Je crois qu’il faut oser ouvrir une parenthèse politicienne car la politique politicienne de « bas étage » s’est invitée dans les actes. Ce que je vais écrire n’a rien d’un éventuel règlement de comptes mais certains faits enregistrés ne peuvent qu’accréditer cette thèse que j’émets.
Depuis la « mise sur orbite » de Madame Moussi-Le Guillou par des marionnettistes extérieurs à la gestion propre de la ville, le Conseil municipal est devenu un enjeu stratégique pour des appétences à satisfaire en matière de développement. « Vous vous rendez compte, depuis deux ans, nous n’avons pas sorti un seul grand projet ! »
Mais alors, qu’avez-vous fait ? De la réunionite ?
En aucune manière je conteste la légitimité de l’élection de Madame Moussi en sa qualité de conseillère départementale. Les urnes ont délivré un verdict et je le respecte.
Mais, sans vouloir entrer dans une polémique gratuite et inappropriée, reprenons le cours des choses : La commission des investitures LR de Seine et Marne n’a pas retenu la candidature de Martine BULLOT pour des raisons peu « convaincantes »… Elle avait trop pris son job à cœur et n’était pas devenue malléable ou manipulable à souhait ! Elle risquait de contrecarrer des plans de carrière…
Cette nouvelle fonction de la seconde adjointe est le point de départ de l’épisode de la démission massive de ses affidés.
Viendra donc, par la force des choses, le retour aux urnes pour réélire un NOUVEAU conseil municipal dans les 3 mois.
L’article de la MARNE se termine par : « Pour l’heure, Cindy Moussi-Le Guillou a indiqué ne pas savoir si elle ou les élus démissionnaires, se présenteraient le cas échéant. « Nous sommes encore en phase de réflexion », précise-t-elle. »
Je crois qu’il faut avoir le courage de ses actes.
On ne démissionne pas « POUR RIEN » ! Il y a toujours une carotte derrière le bâton !
J’ai eu à vivre cette pénible expérience pour constituer une « liste » de 27 personnes. Dans les deux cas de figure qui devraient se présenter, l’un aura 13 personnes à trouver, l’autre en aura 14 ! Avec respect de la parité… Bon courage Monsieur, Madame !
Il aura donc fallu attendre 24 mois au sein d’une « équipe » qui se voulait « Tous unis pour LIZY » pour en arriver au clash provoqué afin de satisfaire des « égos surdimensionnés » et du « carriérisme de circonstance ».
Mais qui a fait son devoir d’élu en cherchant à dénoncer ces états de fait aux citoyens que nous sommes ? Personne !
NON ! Sachez bien que je ne regrette RIEN !
Jamais je n’aurai pu « travailler » pour l’intérêt général dans un tel climat de défiance, de suspicion !
Maintenant, attendons la suite car suite il y aura !