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Le monde de la violence…
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S’inscrit presque gratuitement, et connement dans certains cas, tout comme celui d’une rixe dans un bal populaire d’un bled où un gentil garçon se retrouve planté par des voyous qui ne cherchaient que la bagarre pour des raisons certainement futiles ou vengeresses ! L’enquête nous le dira bientôt.
De plus en plus nous vivons, non pas avec la peur au ventre en permanence, mais avec une appréhension, un mauvais présage, une épée de Damoclès sur nos têtes. Un regard mal interprété, une parole sortie de son contexte, une remarque que l’intéressé réfute et VLAN tu t’en prends plein la tronche ! La violence incubée pour des raisons ignorées se libère et prive le forcené de tout jugement.
Nous avons connu ces périodes de bagarre où coups de poings et de groles pleuvaient ! Rappelez-vous la salle St Henri et ses bals, puis ceux du 14 juillet !
Il arrivait que nous nous battions, pour des broutilles ! La grande différence résidait dans l’absence de surins, de schlass ! Mais tout ce qui pouvait servir d’arme contondante était pris ! Des gueules cassées, il y en avait autant qu’à la loterie nationale !
Toutes ces scènes de violence mirent fin « au bal populaire » tant chanté par Michel SARDOU !
Cette violence urbaine comme citadine me rappelle 1971, où un film classé « science-fiction » plutôt friction, de Stanley KUBRICK met en scène un jeune chef de bande sadique et ses expériences thérapeutiques dans un futur où la violence et le sexe dominent. La bande son y est géniale : Du Beethoven !
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52 ans plus tard, sans la musique de fond d’un Beethoven, les violents sont à l’œuvre !
Cette violence plane partout !
La téloche est de plus en plus anxiogène avec les événements de GAZA où rien n’est sanctuarisé !
Les sénateurs, sénatrices ont eu droit de regards sur les séquences vidéo du 7 octobre ! Ce n’était plus le menu délicat du président LARCHE qui s’affichait sur les pupitres ! C’était l’HORREUR, je pense !
Jamais nous n’avons eu une société aussi éclatée, écartelée, fracturée où les bons repères sont difficiles à saisir.
On évite la causette, on ne correspond plus, on vit dans le monde des réseaux sociaux sans chercher le discernement des infos diluées ! L’égocentrisme devient façon d’être permanente. Le parler et l’écrit ont disparu ! L’outil communicatif est le téléphone ! Vivre (enfin façon de vivre) sans portable… Tom CRUIZE, mission impossible !
Avant, il y avait un lieu de réelle mixité sociale, d’échanges : le BISTROT !
Et dieu sait si LIZY en regorgeait : Qui se souvient de la mère BRULFERT, des bistrots LEROY, LACHENAL, HERIGNOUX, JEAUNAY …J’en oublie… Je connaissais les lieux sans être un pilier !
On se défoulait en s’engueulant vertement puis on buvait une p’tite chopine et la paix était retrouvée !
En être arrivé à tuer mais où va-t-on ?