En préambule, je me permettrai de vous citer un extrait du discours d’intronisation de Monsieur le Président SARKOZY (mai
2007) : « Le peuple français ne veut plus que l’on décide à sa place, que l’on pense à sa place » ! C’était
en 2007… Aujourd’hui, on peut le constater aisément, le message n’a jamais eu d’écho…
Tous les ténors politiques n’ont, en guise « d’amuses gueules » pour ces élections cantonales que les termes : « Solidarité, Sécurité, Transports, Compétitivité territoriale… et bien d’autres encore » ! Tous ces mots - devais-je utiliser maux tout simplement - seront à l’ordre du jour de nos « médecins malgré eux » lors de la présentation de leurs ordonnances à faire valider par les « juges » que nous serons. Mais quand aurons-nous l’honneur d’être ECOUTE ? Quand aurons-nous le sentiment que l’on a pris acte de nos problèmes ? Mesdames, Messieurs, sachez que le « vote et tais-toi » ne sera pas d’actualité.
Je vais donc attendre les « professions de foi » des candidates et candidats. Je n’aime pas ce terme de « profession de foi » qui me rappelle le « patronage » même si sa connotation religieuse est aujourd’hui presque disparue. Je préfère, et de loin, parler « de programme et d’idées ».
Sans fard, sans projecteur, venez sur le plateau et livrez-nous vos programmes.