J’ai reçu le commentaire suivant concernant mon article publié le 5 mars dernier dans la rubrique « Mon point de vue » : Il faut sauver le soldat DIDIER !
« Bonjour, je m'apercoit sans surprise que la solidarité salariale du groupe c'est définitivement fissurée ,effectivement , sauvont le soldat Didier, oui
trés bien ,et le soldat graphic
brochage hein ? , et le soldat Hélio corbeil hein ? , et le soldat circle printers france hein ? Mais bon comme raconte le dicton, quand le bateau prend l'eau,, les rats se sauvent,
hein
!!! mais bon vous souvenez vous ?...On ne veut plus rien savoir de circle printers on veut un repreneur, résultat, dans chaque unité le double de licenciements,merci général ,maintenant
pouvez vous me dire comment sauver le soldat DIDIER?
PS.UN GRAND MERCI AUX SALARIES PROTEGER »
D’abord, je ne suis ni prophète, ni « madame soleil » et encore moins « général » !
Je vous demande de bien vouloir m’excuser des omissions concernant « graphic brochage », « hélio Corbeil » ! Tout comme je n’ai nullement parlé de « CPS » et « CPF » ! Je ne traitais que du cas de LIZY/MARY.
Je comprends votre colère, votre désarroi mais est-ce encore la « bonne fée » que vous attendez alors que depuis des années, vous fûtes QUEBECOR puis rachat par HHBV pour environ 130 millions €), puis Circle Printer’s sans compter les négociations avortées avec MAURY…
Je vous signale que l’imprimeur Autrichien « Oberndorter druckerei gmbh » (filiale du groupe Circle Printer’s…) a acquit l’imprimeur allemand (en difficultés financières… Ne vous déplaise) « J. FINK GMBH & Co » !
Pour de plus amples informations - que je n’ai pas, faute de transparence - je vous invite à consulter vos antennes syndicales qui ont pour rôle premier de vous avertir !
J’ai un « point de vue » bien différent car vouloir, à corps et à cri, un nouveau repreneur - qui ne sera autre qu’un groupe d’investisseurs (L.B.O ou Leverage Buy Out) qui acquerront la « cible » via une société mère (holding) créée pour l’occasion qui s’endettera autant que la capacité d’autofinancement de la cible le permettra et qui sera capitalisée uniquement à hauteur du solde d’acquisition (effet de levier) - ne peut pas être une solution pérenne. Vous en avez eu l’exemple !
Alors, pourquoi toujours attendre un sauveur quand, dans certains cas, on peut éventuellement faire autre chose : une S.C.O.P (Société Coopérative Ouvrière de Production) ! Il aurait, peut être, fallu « envisager » cette solution ! Dans ce cas, on prend son destin en main, on l'assume et on y croit !
Les services juridiques de l'INFOREG auprès de la CCI de PARIS pouvaient vous offrir cette consultation.
Merci pour ce commentaire.