D’après des sources « proches », il semblerait que cette industrie phare de notre canton ait « obtenu » un sursis jusqu’au mois d’octobre prochain pour trouver un « repreneur ».
Le plan de restructuration présenté par la direction a été rejeté par l’ensemble des salariés en juin 2011.
Je vais, peut-être, dire une « ânerie » mais, malgré un endettement exorbitant, n’y-a-t-il pas la possibilité de créer une S.C.O.P (Société Coopérative Ouvrière de Production) avec l’aide financière de nos institutions : Notre Conseil Général, notre Conseil Régional ? Par un « reprofilage » de la dette ou plus simplement d’une restructuration douce, n’est-il pas envisageable de permettre à celles et ceux qui auraient le désir de prendre en charge leur destin, de s’associer, de développer leur propre outil de travail. Il n’y a pas « assistanat », simplement un coup de pouce.
Des exemples existent en la matière : Consultez le site de cette société www.acome.fr !
Va-t-on, encore une fois, jouer à « quitte ou double » avec l’arrivée éventuelle d’un nouveau groupe financier qui fera la pluie et le beau temps ? Pour combien de temps ? N’est-ce-point reculer pour mieux sauter ?
Baisser les bras, c’est se condamner. Réagir, c’est surprendre !
Il est des moments, dans sa vie, où il faut s’assumer pleinement. Je l’ai vécu !