Ces « sempiternelles » manifestations annuelles retiennent mon attention pour deux points.
Le premier est un des seuls moments privilégiés où l’on rencontre une population de tout milieu, de tout bord politique. Cet instant je l’apprécie, d’autant plus, qu’il me permet d’échanger de libre propos avec tout le monde. C’est peut-être une des formes de « générosité » dont parlait Monsieur J.F COPE à MARY sur MARNE !
Être à l’écoute, certainement ! Pas nécessairement répondre à toutes les questions car je n’ai pas toutes les réponses ! Et puis, serai-je l’interlocuteur souhaité ou souhaitable ? Je n’ai pas cette prétention. Il vaut mieux s’adresser à un Dieu qu’à ses Saints quand il consent à vous écouter !
Le second est l’heure des « bilans », des résumés (quelquefois longs…), des actions entreprises, des catalogues, puis des « commentaires », des « rebonds » des corps constitués « observateurs avisés » ou « acteurs dissimulés ». Je n’entrerai pas dans la polémique. J’ai simplement retenu que 2011 avait été placé sous le signe des « tempêtes du désert » en Pays de l’Ourcq : les grains de sable !
Comme le MONT ST MICHEL… victime de son ensablement. Promis, je ne mettrai pas mon grain de sel (sans droit d’auteur à qui de droit) mais je résumerai ces « dépressions » exceptionnelles subies par le « Pays de l’Ourcq » :
- La « pause obligée » dans la construction du stade d’athlétisme suite à des problèmes liés à la qualité du sous-sol. La reprise des travaux semblerait être imminente.
- Le mille-feuille politico judiciaire des « EFFANEAUX » où chacun en remet une couche !
- La course engagée contre la montre pour éviter la fermeture irrémédiable du site phare de notre canton : L’imprimerie DIDIER QUEBECOR CIRCLE PRINTER’S. Vous connaissez la suite…
Saluons la présence de Madame et Monsieur DONGHI lors de cette manifestation.
L’interlude (sans « le petit train de la télé ») m’a « ravi » mais rendu un peu « perplexe » quand on cherche à lui donner un sens ! Car, toute manifestation artistique a un sens ! Mais faut-il en chercher un ? Le « parapluie » et la « sarbacane » sont des objets qui prêtent à discussion ! Aurai-je l’esprit « tortueux » si j’écrivais : « Mais pourquoi, Monsieur le Président, ouvrir le parapluie et se faire souffler à l’oreille » ? C’est trop tard, je ne voulais pas le dire !
Je ne crois plus aux mythes, légendes, mais ne disait-on pas « qu’ouvrir un parapluie à l’intérieur d’une maison portait malheur » ? Superstition tout bonnement ?
La sarbacane peut évoquer « le souffler n’est pas jouer »… Non, vous ne jouez pas aux « Dames » ! Et vous ne jouez pas ! De plus, je ne crois pas que vous aspiriez à ce que l’on vous souffle une « once » de solution ! Ce n’est pas dans votre nature. A moins que l’objet ne soit pas une sarbacane mais un grand « sonotone » ! C’est bien utile, croyez-moi !
Pour clôturer cette sympathique manifestation, un nuage de « petits papiers » (j’ai lu, il n’y avait aucune confidence !) s’est mis à tomber sur nos têtes. Le temps était trop doux pour la neige.
Et puis, après tout, ceci est sans importance.
Le rideau est tombé. Portons nos regards, nos actions collectives vers l’avenir proche.
Nota : Mes profonds remerciements iront également à Jean-Pierre et son équipe pour la qualité des présentations de ces deux buffets.
Bon, quelques photos, vous feront plaisir !