Raymond - sans la science - avait conduit notre équipe de « business footballeurs » à la ruine sur le plan purement sportif… Et voici François qui se mêle de la partie en annonçant qu’au-delà d’un « salaire » d’un petit million d’heureux par an - d’euro, vous avez corrigé ! -, les « stars » du showbiz footballistique verraient leurs gains - oh combien - confortables amputés d’une contribution qui, de la bouche même de l’auteur de cette mesure avancée, ne rapporterait pas grand-chose à l’état.
Simplement une question de principe et de solidarité ! L’exemplarité !
Presque tous nos représentants de la sélection nationale officient à l’étranger. Ils se sont, en général, expatriés sous d’autres cieux ! Prenez les BENZEMA (708.000 € par mois), les HENRY (625.000 € par mois), les RIBERY (416.000 € par mois)… Ils jouent dans des clubs étrangers ! Expatriés ? Oui, mais surtout exilés fiscaux…
Combien de joueurs en ligue 1 subiraient cette mesure si elle devait voir le jour ? Un petit nombre car l’opacité n’arrange pas les choses. A titre d’exemple, rien qu’au P.S.G, il y aurait 22 joueurs susceptibles d’être « surtaxés » ! Alors, vivement le prochain « Mercato » pour aller vers d’autres rivages !
Les pieds d’or sont bien souvent dehors… Alors, très chers joueurs, pourquoi cette levée de boucliers ? Pas celui de Brennus (vous jouez au foot pas au rugby) mais celui du fiscal…
La « galaxie foot-miracle » vit dans un monde totalement déconnecté de la réalité du quotidien. Combien parmi ces 1.920.000 licenciés à la F.F.F espèreront arriver à ce degré d’arrogance ? Peu, je le souhaite car rien n’est plus beau que de jouer pour son propre plaisir. J’ai pratiqué ce sport, en amateur, pendant 20 ans ! Vous, vous êtes des « pros » mais pas à n’importe quel tarif !
Sachez qu’il en est de même chez nos « mains d’or » ! Nos tennismen sont, eux aussi, pour la plupart des exilés fiscaux !
Continuez à taper du ballon rond, continuez à frapper la petite balle jaune, mais arrêtez de jouer les « offusqués » quand un petit geste de solidarité nationale de votre part nous montrerait votre exemplarité dans une limite à définir.
Vous le savez aussi bien que moi, les « paroles » ne sont pas souvent suivies d’actes !
Il faut faire le « buzz » ! Et le « buzz » dans le « business » du « showbiz », c’est facile !