Pourquoi ai-je abandonné le « militantisme » ?
La réponse se trouve dans l’actualité de ce jour !
En me levant tôt ce matin, comme tous les matins… Il est 5 heures, RADEMONT s’éveille… mon regard se porte sur le petit écran et BFM TV (une chaîne comme une autre !).
Stupéfaction ! Je découvre les « nouveaux amours » de Monsieur SARKOZY et de Monsieur COPE… Les « frères
ennemis » font la trêve… En un jour… Les bisbilles sont « oubliées »… et pour cause !
La rituelle politicienne de période pré-électorale se met en ordre de marche… Fini les petites phrases assassines jusqu’au soir du 21 mars 2010… Les « egos » sont de retour…
mais qui sera le plus fort à ce petit jeu dangereux du « je t’aime moi non plus » ?
Monsieur COPE ou Monsieur SARKOZY ?
Rendez-vous à la UNE des journaux dès le 22 mars au matin…
Un « militant » n’est pas un pion, un godillot, un fayot que l’on cherche à manipuler pour satisfaire l’objet de sa cause, pour son destin personnel.
C’est tout simplement une communion entre le fidèle et son mentor (je n’ai pas écrit « menteur ») pour les idées, les aspirations, les choix qu’il incarne et qu’il
respecte.
Le libertinage politique est contraire à ma notion du militantisme. Merci, j’ai déjà donné en 1981 !
Chassez le naturel… Il revient au galop !
PS : Qu'en auriez-vous dit Monsieur SEGUIN ? En rire ou en pleurer ...