Je suis sidéré du manque de respect des « godillots » du parti du Président à l’égard de Monsieur De
Villepin.
Oser s’essuyer les godillots sur le portrait d’un ancien premier ministre, d’un homme qui a su tenir tête aux « faucons » de la « busherie
américaine » lors de la « guerre » du Golfe, d’un homme plus que respectable même si certains s’acharnent à vouloir le tuer politiquement, d’un homme qui
pourrait être – ne vous déplaise – un futur président de l’Etat.
Je déplore, tout autant, la provocation des « comédiens d’Action discrète », tout comme les publications photographiques de Mathieu BARBOT, chef de projet
internet pour le parti présidentiel. De plus ce fayot se permet de nous donner des leçons d’intelligence en osant dire à ses détracteurs qu’il s’agit (sic) « d’un humour trop poussé
pour des gens comme vous » ! N’y aurait-il que des « grosses têtes » dans le parti présidentiel et des « gros
cons » en dehors de la Cour ?
Non, vraiment Monsieur BARBOT vous ne méritez pas de « jouer » dans la Cour des Grands.
De votre propre sens de l’humour, parlons-en : Oser blesser un homme à terre relève davantage de la tragédie que du comique.
Ce n’est ni sarcastique, ni ironique, c’est tout simplement con !
Je repense à Michel AUDIARD :
« Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît. »
«Extrait des Tontons flingueurs ».
Avec tout le respect que je ne vous dois pas !