Lettre à Mylène,

Non, rien à rapprocher de la splendide lettre à Élise de Beethoven, je ne fais pas dans la bagatelle !

Mais qui est donc celle personne qui m’a si gentiment apostrophé après ma nième publication sur le rayon « poissonnerie » de l’INTERMARCHE de Lizy ?

Un grand courage quand on « oublie » de se présenter !

Je ne vais pas publier l’intégralité de son post. J’ai omis sciemment d’écrire son NOM qui est PERSONNE !

Mais je commente ! 

Bonjour, je suis effarée de vous lire. (Pourquoi donc poursuivre une lecture qui vous donne de l’urticaire !)

Avant toute chose, je vais saluer le poissonnier qui fait très bien son travail et on le sent. Heureusement qu’il existe encore des personnes qui connaissent leur métier. Je défends ça. Tout comme je souhaite que ce rayon poissons continuent à œuvrer. Ce sera le seul point sur lequel nous serons d’accord ! J’ai toujours promu et défendu ce rayon qui était à l’abandon !

Mais je m’interroge sur un fait : vous relatez des propos tenus par un employé ? Je trouve ça grave ! Les confidences de cette personne ne vous donnent en aucun cas la légitimité de les divulguer publiquement.  Cet homme a probablement une clause dans son contrat de travail. Sachez ma chère dame que je me suis permis de critiquer la méthode car les règles sociales et sociétales existent, même en Grande Surface !

Ensuite vous vous permettez de prendre des photos.

Où est l’interdiction ? Aucun panneau suffisamment visible en parle à l’entrée du magasin !  

Un point de vente est qualifié de lieu privé accueillant du public. Il est pénalement répréhensible le fait de porter atteinte à la vie privée.

A qui ai-je porté atteinte à un dénommé « Picsou » …  Ils sont nombreux chez Disney !

Un supermarché n’est en aucun cas un lieu public où on peut se permettre d’y faire tout et n’importe quoi comme vous le faites.

Ce sont des accusations infondées, madame ! Vous me portez des actions inconvenantes sans aucune preuve !

Quant aux produits photographiés, ils appartiennent à l’entreprise qui les distribue, surtout que les prix sont divulgués, attention à la concurrence déloyale. Travaillez-vous pour un concurrent ? Mais ma brave dame, vous devriez reprendre la lecture en vous faisant assister par l’IA ! La question se pose. Vous vous posez encore une fois, la mauvaise question !

Et c’est d’autant plus répréhensible quand vous portez préjudice à une enseigne. Après tout, si vous n’êtes pas content, changez de crèmerie ou tout du moins de poissonnerie, mais à vous lire c’est plus facile de bavasser et critiquer ceux qui font. Car oui, il n’y a que ceux qui font qui passent à la moulinette des critiques faciles. Qu’avez-vous apporté en torpillant une grande surface ?  Bien évidemment que j’ai eu des mots forts lors des travaux d’agrandissement sans AUCUN RESPECT des règles de sécurité alimentaire ! Si vous voulez mes photos, j’en détiens les droits d’auteur rassurez-vous, je vous les envoient à une adresse MP !

Vos a priori, madame, gardez-les !

Je vous donne cette réponse : RIEN, à part cracher sur une entreprise que vous ne portez pas dans votre cœur surement. (comment pouvez-vous dire ceci ?) Pour un éditorialiste, vous faites un 94% de négativité, évidemment c’est plus simple de jaser, médire, caqueter… Loin de moi l’idée de défendre un supermarché, juste le respect des lois, mais la tendance sur les réseaux ou les blogs est de se croire tout permis. La diffamation reste un délit et la diffusion de photos qui ne vous appartiennent pas est prohibée. Ceci est valable pour toutes les illustrations que vous utilisez à chaque fois, vous n’en avez pas les autorisations.

En êtes-vous certaine ?

Une brillante conclusion ! On ne sait pas qui vous êtes, qui ou que cherchez-vous à mettre en exergue.

Vous parlotez Madame, sans construire !

Moi, je ne caquète pas Madame ! Et j’ai le courage de dire qui je suis ! Je vous remercie de m’affubler du nom d’éditorialiste ! Je ne le suis pas ! Je m’exprime tout connement !

Le droit de réponse existe !