Il y en a eu déjà beaucoup trop, et, si rien n’est fait en ACTES, il y en aura encore !
Je suis triste d’écrire ceci mais si nos gouvernants, nos ministres, nos députés ne font pas évoluer le carcan juridique qui encadre les crimes et délits commis par des gus frappés d’une O.Q.T.F, cette jeune fille de 19 ans sera morte pour rien ! Elle aura été assassinée avec la complicité des garants de « la chaîne pénale et administrative », lourdeur d’un système connu de tous mais jamais revisité !
Mais comment nos magistrats ont-ils pu laisser ce genre d’individu en « parfaite liberté conditionnelle » ?
Placé en centre de rétention administrative après sa sortie de prison, en juin, pour des faits de viol à TAVERNY en 2019, un juge des libertés et de la détention l’avait fait libéré le 3 septembre. Il ne pouvait plus être retenu en rétention dont la durée maximale prévue par la loi n’est que de 90 jours et ce depuis 2018.
L’administration n’ayant pas obtenu le laissez-passer consulaire du Maroc, document de voyage indispensable à l’éloignement d’un étranger, l’a relâché purement et simplement. La veille du meurtre, le 19 septembre, il avait été inscrit au fichier des personnes recherchées, car il ne respectait pas son obligation de pointer au commissariat.
Pas de bracelet donc aucune recherche à entreprendre ! Il est dans la nature !
Cette belle demoiselle ne pensait pas que d’emprunter ce chemin du bois de Boulogne la conduirait à rencontrer un personnage sordide qui était déjà marqué par un risque de réitération de faits délictueux ! Quel laxisme messieurs les magistrats !
Oui je soutiens pleinement les propos de Bruneau RETAILLEAU qui veut renforcer l’arsenal juridique et procéder à l’exécution des O.Q.T.F.
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Il est inadmissible de se rendre coupable de tels faits par manque de courage politique.
Vite, des actions marquantes !
Comme à chaque fois, hélas, si rien n’est entrepris, le processus médiatique sera le même :
La cagnotte, la marche blanche puis l’oubli !
C’est profondément INTOLERABLE !