Après SARKOZY, l’ancien premier ministre, Lionel JOSPIN se livre à son tour.
Dans un article du 2 novembre 1989 paru dans le « Nouvel Observateur » quelques intellectuels laïcs alertaient déjà Lionel Jospin (Ministre de l’éducation nationale sous le gouvernement Rocard) à travers un appel : « Profs ne capitulons pas ! ». Ils l'accusaient notamment de « capituler » après sa formule « il est exclu d’exclure » à propos des élèves ne respectant pas l'engagement de ne pas venir avec le foulard en classe…
34 ans plus tard, après avoir découvert « l’islamisme violent, l’islamisme terroriste », l'ancien Premier ministre va jusqu'à s'interroger : « J’ai regardé ce que c’est l’abaya… Un vêtement traditionnel bédouin que les femmes portent pour se protéger dans le désert. Vous pensez que ça a un rapport direct avec le climat en France et la façon de vivre ? » Certes, les réseaux sociaux n'existaient pas encore pour « pousser des jeunes filles à porter ce vêtement qui les distingue de la majorité de leurs camarades », comme il le remarque aujourd'hui pour justifier l'interdiction de l'abaya, mais le prosélytisme, lui, était bel et bien déjà présent sur les bancs de l'école en 1989…
Oui, le prosélytisme s’installe et s’enracine dans nos territoires ! Et comme le faisait remarquer Nicolas Sarkozy, « on n’a encore rien vu… »
Depuis trop longtemps, nos gouvernants, nos politiques se refilent la patate chaude qu’est le sujet complexe de l’immigration sans y apporter les moindres solutions. Un peu de pommade, un peu de sparadrap et le mal récurrent se calme jusqu’à la prochaine fois ! Un cataplasme sur une jambe de bois n’a jamais guéri la moindre plaie !
Aujourd’hui nous le payons par toutes ses formes dans les cités, nos écoles, nos us et coutume. Le communautarisme prêché s’est soldé, se solde par un échec patent.
La « cohabitation » n’est pas inscrite dans nos gènes.
Nos us et coutumes nous y tenons ! Nos anciens ont combattu pour les conserver !
La religion est propre à l’individu. C’est son droit et je le respecte tant qu’il ne cherchera pas, par des moyens peu « catholiques » à nous l’imposer de fait ou de force !
Sachons vaincre ce prosélytisme rampant,