Minable !
La dégringolade !
C’est très factuel car de plus en plus cette enseigne que je connais depuis son ouverture (H était un AMI) ne cesse d’accumuler les points noirs ! De direction en direction, ils foncent dans le mur les nouveaux « managers » ! Vouloir faire du pognon à tout prix, la période faste est terminée mes bons messieurs à moins d’arnaquer votre clientèle… Vos échos sur les réseaux sociaux ne sont pas bons… Des « plaintes » en tout genre qui demandent malgré tout à être vérifiées avant publication s’étalent sur la place publique ! Mais j’ai la sombre impression que ces messieurs s’en foutent !
La dérive est flagrante et totalement déconcertante : Des allées encombrées de produits en palettes et qui ne respectent pas les distances obligatoires en matière de circulation ; une zone centrale de stockage de produits ressemblant à un champ de foire ; des produits en attente d’être rempotés stagnent à terre et entravent la libre circulation ; des valses d’étiquette avec des prix qui ne correspondent pas à l’article payé en caisse ; des denrées aux dates limites dépassées et toujours en circulation ; des rayons dégarnis ; des fruits et légumes dont la fraicheur est plus que limite ; le comble est le rayon « poissonnerie » - que je croyais sauvé des eaux par un pro – mais qui est emporté par les baïnes.
Il y a peu de temps (en août), un dimanche matin, une employée découpait, en arrière-plan, des poiscailles qui avaient pris place sur l’étal depuis un temps certain et qui devaient déjà avoir été pêchés depuis un certain temps. Les « nouveaux » filets emballés sous plastique allaient donc prendre place dans le frigo avec une belle étiquette qui indiquera la date de mise sous cloche ! Alors là, je m’étouffe… Une arête me pique la gorge ! Eh oui, c’est le moyen qu’utilise le « poissonnier » pour éviter la mise à la poubelle ! Peuchère, à Marseille, ils en font des soupes de poissons… avec rouille ! Je caricature !
Et puis, toujours au gré de mes rencontres, j’entends dire qu’une nouvelle enseigne s’installerait avenue de la gare, à côté de GAMM’VERT… Encore une « Arlésienne » spécialité chantée par la ComCom ! Après les Effaneaux, l’électrification de la ligne « P », voici LIDL ou ALDI !
Deux GMS (grande et moyenne surface) sont implantées à LIZY, y a-t-il la place pour un troisième distributeur ? Ah, j’oubliai, nous ne sommes plus à LIZY mais à OCQUERRE ! Enfin, soyons sérieux !
Je ne chercherai pas à défendre l’indéfendable mais je crois qu’il faut savoir raison garder !
Les GMS drainent une clientèle locale et aussi périphérique. Elles ne vont pas s’éliminer entre elles ! Le périmètre marchand n’est pas trop sujet à une concurrence exacerbée ! Il n’y a pas « entente » mais… LECLERC, AUCHAN ponctionnent de temps à autre le prospect lizéen par des campagnes massives de « bonnes affaires »… mais la potentialité de la clientèle demeure intacte.
Malgré bien des aspects négatifs, INTER résiste. Pendant combien de temps ?
Et puis, dépenser du carburant pour gagner « trois francs six sous » sur l’alimentaire… Je vous laisse le choix !
Un point suggéré : Cette enseigne loue un emplacement à une entreprise qui ne respecte pas la législation sur les prix ! Prenez tous les produits fabriqués, en plein air – on emmerde le restaurateur pour bien peu - aucun ne précise le poids au kilo !
D’autres entreprises du même secteur le font !
Sachez qu’il vous faudra de la patience, de la pertinence, de la mémoire vive, pour vérifier le prix payé de l’article à la caisse. La suppression du « ticket de caisse » n’a rien de réconfortant pour le client des GMS : Comment contester un écart de prix sans preuve ?
Encore des arguments fallacieux pour sauver la planète… Et le gâchis des GMS n’est-il pas plus préoccupant ?
L’heure de la confiance est dépassée… La méfiance prendra le dessus et deviendra la règle d’or entre le client et le vendeur !
Quel progrès dans notre relationnel de tous les jours !
Nota : Les photos sont miennes et j’assume !