Le climat est devenu insurrectionnel depuis la mort tragique de cet ado de 17 ans tué par un policier lors d’un contrôle routier au moment où le chauffeur – sans permis – a décidé de mettre fin à un refus d’obtempérer. L’enquête précisera les faits !
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Depuis, c’est l’apocalypse qui se déchaine dans toute la France, fut-elle citadine ou rurale.
Sont-ce des manières de rendre hommage à la victime et à sa famille ?
Encore une fois, tout prétexte est bon pour mettre en place la guérilla urbaine, le saccage à outrance, les dégradations publiques comme privées d’ailleurs, l’incendie volontaire, le pillage systématique, la chasse aux flics…
NON Monsieur le Président, avec tout le respect que je vous dois, vous n’aviez pas à commenter à chaud ce drame en le qualifiant : « d’inexplicable, d’inexcusable » ! Vous pensiez que de tels propos allaient calmer la vindicte ? NON ! Même l’émotion revendiquée à l’égard de la mère de cet ado n’a pas suffi à apaiser les « esprits échauffés » où la haine à l’égard de l’autorité est telle que seul l’usage de la fermeté s’imposera plus que tout.
Il n’est pas acceptable que des « dignitaires politiques » usent d’un langage déplorable pour inciter une certaine jeunesse à se révolter. À faire monter la mayonnaise, elle risque de tourner au vinaigre !
Il y en a marre d’entendre (même en fermant mes sonotones…) que les poulets (polices et gendarmeries confondues ) sont RACISTES, sont des TUEURS…
IN SU POR TA BLE ce genre de propos !
Les policiers et les gendarmes payent aussi un lourd tribu dans cette société où nous vivons !
Depuis des lustres (Macron n’était pas encore né !) nos gouvernants d’hier et d’avant-hier ont laissé se construire des ghettos sans chercher à comprendre que des communautés allaient se former à l’intérieur de ces édifices. Malgré une politique de la ville qui a englouti des milliards d’euros en rénovation, le mal-vivre s’y est installé : Communautarisme, délinquance, drogues, trafics en tout genre… Où est donc passé le « kärcher » du petit Nicolas ? Les problèmes liés à la cité sont récurrents. On en parle puis on oublie car la tâche à entreprendre est colossale ! Depuis tout le temps que les gouvernements se refilent la patate chaude… Elle est calcinée ! Attention, ça brule !
Monsieur le Président, changez donc de braquet !
La côte est longue et la pente est prononcée !