Je suis comme la marque d’un chocolat : « C’est moi » ! Je n’appartiens à AUCUNE chapelle !
J’ai, depuis bien des années, compris que l’abandon volontaire d’une ligne dictée par les autres ne pouvait être que bénéfique. Je ne suis ni le soutien, ni le suppôt de qui que ce soit.
J’ai conservé ma liberté de paroles ! Comme c’est agréable !
Cependant, je ne me complais pas dans l’apathie de la vie courante, j’ai un besoin à porter mon regard, mon attention sur des faits qui, dans bien des cas, passent sous les radars de l’info en continu.
Je ne suis pas né « polémiste » car cette attitude m’est particulièrement désagréable. Bien évidemment que je n’ai pas toujours eu le doigt sur la couture pour dire « amen » à des prises de position, à des actes que je n’approuve pas ! À chacun sa sensibilité, et je la respecte.
Pour autant, sans faire allégeance, sans renier ni les malentendus, ni les incompréhensions, ni les divergences, que j’ai pu rencontrer avec certaines personnes et n’en déplaise aux « fidèles de la pensée unique », je sais reconnaître et apprécier les ACTES qui vont vers l’intérêt GENERAL ! Alors la suite vous surprendra-t-elle ?
Je viens de lire dans notre hebdo « La Marne » un article nous informant qu’une association d’aide aux femmes victimes de violences conjugales, sexuelles, et en situation de précarité venait de voir le jour à LIZY sur OURCQ sous le nom de « Terre de femmes libres ».
C’est à l’initiative de Madame Cindy Moussi (conseillère départementale) que cette association a pris corps dans la cité lizéenne avec l’espoir de l’étendre au Pays de l’Ourcq et au département.
Un petit rappel (comme le vaccin !) Madame Moussi avait déjà créé une structure pour les enfants des écoles. Ce sera donc un second défi à relever avec les violences infligées aux femmes ! De janvier à juin 2019 (je n’ai que ces dates à vous soumettre) quelque 6.000 victimes ont été recensées dans notre département ! Situation NON ACCEPTABLE !
Même si, pour le moment, elle ne dispose pas de local extérieur à son domicile, Cindy Moussi veut « offrir quelques nuits » aux femmes qui fuient, mais aussi « les aider et accompagner dans leurs démarches. »
Il y a des moments dans la vie où il faille laisser son égo au vestiaire et essayer d’apporter une pierre à l’édifice même sur un projet dont on n’est pas l’ordonnateur.
« Allo la mairie, vous n’auriez-pas une adresse pour héberger un local, créer une structure digne de ce nom afin d’accueillir provisoirement les personnes en détresse ? »
Je pense que l’on peut se mobiliser pour des causes nobles… L’entregent n’y a pas sa place.
Pour contacter l’association, message à adresser à : terresdefemmes-libres