Vraiment, cette mégère – peu apprivoisée – ne manque pas de souffle !
La voici qui trouve bien des circonstances atténuantes aux dérapages vindicatifs des hordes insoumises qui peuplent ses rangs après l’annonce du décès du « grand Satan » de toujours.
Rien que d’entendre le nom « LE PEN », elle fait de l’urticaire, elle carbure au quart de tour et se lance dans la diatribe digne de son mentor MELENCHON.
Fait-elle dans l’escroquerie intellectuelle ou commence-t-elle à perdre la mémoire !
Je ne crois pas que « feu » l’ami CHARB de ce cher Jean Luc serait resté AMI.
Il a entendu, quand le mentor, lors de ses obsèques déclamait, la larme à l’oeil : « Tu as été assassiné par nos plus anciens, nos plus constants, nos plus cruels ennemis, fanatiques religieux et crétins sanglants ! » et qu’aujourd’hui il court au cul de l’électorat musulman pour alimenter le fonds de commerce de votre parti, madame PANOT !
Vos prises de position sont constantes dans l’inconstance de vos réflexions.
Encore une fois, je m’emporte contre cette attitude profondément négative d’une personne élue et siégeant à l’Assemblée nationale.
Vous avez osé dire : « Vous critiquez ceux qui se « disent Charlie le matin » et sont « choqués d'une jeunesse qui continue "d'emmerder le Front national" le soir ».
Madame PANOT, ne soyez pas de mauvaise foi :
Ils étaient « Charlie » en hommage à ces 12 assassinats commis par ceux que votre parti courtise aujourd’hui !
Rien à voir avec votre grand Satan qui était « bon client » à la rédaction de « Charlie » !
L’honnêteté intellectuelle n’est pas dans vos cordes, Madame !
Vous n’êtes que des persifleurs, de contempteurs de l’actualité !
Des grandes gueules !
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