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Les résolutions s’appliquent à

Soi-même, n’est ce pas monsieur Karl Olive : « Il faut que les partis politiques comprennent que le pays doit passer avant eux » !

Il n’est pas le seul à faire la morale mais qu’il commence par lui, député « Ensemble pour la république » et porte-voix de l’EPR des Yvelines ! Il électrocute depuis bien longtemps sur les plateaux des chaines infos, bien avant l’EPR de FLAMANVILLE ! Il est connecté au réseau macroniste depuis 2017 après avoir quitté l’UMP qui avait été son tremplin politique en 2010.

Le défi qu’il lance et qu’il se lance sera bien difficile à réaliser car chacun des 3 camps restent figés dans le dogme qui, disons le sereinement, n’intéresse plus personne.

Le « Bayrouisme » c’est quoi ?

Il y en a eu des paronymes en « isme » : Gaullisme, giscardisme, mitterrandisme, chiraquisme, sarkozisme, hollandisme, macronisme, mais que signifie « isthmes » ?

C’est un canal stratégique qui relie deux océans comme PANAMA !

Appliqué à la politique, le « isme » sert de passerelle entre deux courants (ou plusieurs si tel était le cas) dans un même parti !

Le « Bayrouisme » serait donc la passerelle entre un ensemble de partis qui laisserait ses partisans en retrait pour mener une réelle politique de mi centre droit, mi centre gauche et en ignorant bon nombre de représentants dûment investis. En cuisine, c’est le mi cru, mi cuit !

Je suis désolé de le dire mais un gouvernement se doit, avant tout, d’être représentatif de son peuple. Seule l’expression du suffrage universelle décide !

Une nouvelle barrière, genre « front républicain, nous sera-t-elle épargnée pour enfin avoir une image de l’électorat qui ne soit pas tronquée ?

Le président s’était fait tordre le bras, aujourd’hui, c’est lui qui tord le bras à un premier ministre qui sera assujetti de gré ou de force au cap fixé par un adepte du « Vent des globes politiques » !

C’est l’Assemblée nationale qui fixera et orientera la ligne gouvernementale avec ses lignes saccadées, ses lignes continues, ses double-lignes…

Hélas, en politique le code de la route ne s’applique pas ! Et encore moins le code de l'honneur !

Chaque parti conduit sa propre voiture en fonction de sa motorisation (combien de bourrins sous le capot ?), de son énergie (verte ou jaune ?), de ses passagers (permanents ou clandestins ?).  

J’avais oublié dans mon énumération en « isme » le défaitisme, mal qui sévit dans les rangs de la population sans avoir la possibilité de recourir à un vaccin efficace.

 

 

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