La chimio thérapie n’est plus de mise ! Il faut amputer pour empêcher les métastases du cancer du poumon étatique de se propager !
Mais, cher professeur BARNIER, n’est-il pas trop tard ?
J’ai failli écrire Professeur BARNARD ! Celui qui a réalisé la première greffe du cœur au monde en décembre 1967 !
Mais est-ce bien un cancer du poumon ou une grave crise cardiaque car le cœur a perdu ses raisons !
Donc, le nouveau chirurgien, nouvellement diplômé, et ses assistants vont s’employer à pratiquer des coupes budgétaires dans tous les secteurs. De la santé, à la justice en passant par l’éducation, l’économie et l’énergie…
Le scanner, sans produits de contraste, confirme la radiographie restée dans les tiroirs du bon docteur LE MAIRE et de ses acolytes. Le corps du malade, en longue maladie, est infesté par 60 milliards de gros nodules qui évoluent, en particulier, dans la sphère des lobes pulmonaires qui regroupent une multitude de niches où des parasites ont été installés par des piqures de rappel du laboratoire fond de pension « Bloc central » !
Le scalpel entre les mains du professeur, BARNIER va tailler dans la masse graisseuse du corps central en annonçant que 40 milliards de cellules cancéreuses vont être opérées afin d’éviter – il l’espère – le cancer généralisé du patient nommé « état ».
Il est certain que les excès ont été patents : De nombreuses cellules malades ont été « implantées » dans le corps. Pour éviter la complexité des termes médicaux que seuls les pros de la santé comprennent, je vais user de la métaphore !
Combien de cellules en communication ont été implantées dans les structures ministérielles, dans les conseils régionaux, dans les conseils départementaux, dans les communautés de communes, dans les mairies de grandes villes ? Etaient elles « utiles » ?
Combien y a-t-il de personnes employées dans toutes ces structures ?
Sont-elles toutes nécessaires ?
Cette surpopulation administrative a entrainé un « surpoids » profondément dangereux à cette maladie !
Alors, il faudra tailler dans le vif, dans la masse !
Ca va faire mal mais c’est un impératif !
Les traitements envisagés – non remboursés par la Sécurité Sociale en lambeaux – vont porter sur des points névralgiques mais, encore une fois, le bon professeur BARNIER et ses équipiers ne traiteront pas l’essentiel : Le poids des dépenses de nos instances gouvernementales tels que le budget alloué de l’Élysée, comme à ceux des chambres hautes et basses, énorme gloutons de « notre » fausse représentativité citoyenne.
Le Premier ministre a souhaité « prévenir une crise dont les premières victimes seraient les plus faibles d'entre nous », et réaffirmé qu'il s'agissait d'un « effort nécessaire, partagé et ciblé », selon la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon.
Suppression de 2.201 postes de fonctionnaires
L'État sera le plus gros contributeur, à hauteur de « 20 milliards d'euros » selon Bercy avec 2.201 postes de fonctionnaires qui seront supprimés.
Les dépenses de santé au cœur du serrage de vis
L’Assurance maladie a été priée de se serrer la ceinture. Principale cause du creusement actuel du déficit de la Sécurité sociale, elle est appelée à ralentir de près de 4 milliards d'euros la croissance de ses dépenses dans le projet de budget de la Sécurité sociale 2025. Que coûte l’A.M.E ?
500 millions d’euros de moins à la Justice !
Le budget du ministère de la Justice s'établira à 10,24 milliards d'euros, soit près de 500 millions d'euros de moins que ce qui était prévu. L’annonce confirme les craintes de l'ancien garde des Sceaux Éric Dupond Moretti et des magistrats. L’actuel titulaire du poste menace de démissionner en cas d’application ! Le chantage avant tout !
« Elle est où la République exemplaire ? »
« Les dotations des régions vont baisser en 2025 de 5 % mais on apprend que les budgets du Parlement et de l’Élysée augmenteront de 1,7 % et de 2,5 % ! Avec 41 ministres au gouvernement ? Elle est où la République exemplaire ? », s’interroge Valérie Pécresse, qui juge que l’État et les pouvoirs publics doivent montrer l’exemple.
Selon la voix de la Présidence, l’Élysée n’augmentera pas sa dotation. Cette décision a également été prise en compte par les deux assemblées qui n’augmenteront pas leur part du gâteau. Il faut prendre soin la santé de G. LARCHER !
Et où sont passés les 50 milliards de déficit que l’on vient de ressortir du tiroir à malices ? Ils étaient planqués pendant les élections !
Ce n’est donc plus 60 MD€ mais 110 MD€ qu’il va falloir trouver !
Il se pourrait bien que le roi de l’écriture qui était aussi le maitre des chiffres ose donner une « explication réelle et sérieuse » qui ne serait pas du genre ; « C’est pas moi, c’est lui ! »
Un peu de crédibilité pour éviter le « mensonge d’état »…
« Dis tonton, pourquoi tu tousses ? »