J’appelle, j’écoute, je réfléchis, je pèse, je mets de côté, je largue, je recommence…
Telles sont les formes de conjugaison du Président.
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Et pendant ce temps-là, l’atmosphère se dégrade ! Pour bien des français, c’est devenu un radio-Circus où actrices et acteurs, comme des « intermittents du spectacle » viennent faire courbettes et exercices de style auprès de l’organisateur chargé du recrutement.
Ils viennent, ils jouent, ils repartent, ils reviennent, ils s’évaporent…
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Les quelques électeurs, encore assidus à la vie politique de leur pays, se lassent ! Ils en ont marre de toutes ces pitreries !
L’équation macronienne à résoudre relève du « calcul quantique ».
Comment trouver « l’oiseau rare » qui échappera à la première salve d’une censure lors de l’investiture de son tout nouveau gouvernement auprès de l’Assemblée ?
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Le tripartisme voulu et instauré par l’application systémique du « front républicain » lors des dernières législatives fait qu’une « opposition de circonstance » peut se manifester.
Trois forces sont en présence :
- le NFP (193 sièges)
- Ensemble (166 sièges)
- Le RN (142 sièges)
La « droite républicaine » de Laurent WAUQUIEZ ne compte que 47 sièges !
Porter sur les fonts baptismaux Xavier BERTRAND à MATIGNON sera, certainement, l’assurance de prendre un risque accru d’une censure.
Quant au choix de Bernard CAZENEUVE, l’épée de Damoclès flottera mais s’abattra-t-elle ?
Monsieur BEAUDET n’a été qu’une étoile filante !
Tout comme Karim BOUAMRANE.
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Il reste encore au DRH une carte à jouer : Madame ROYAL et pourquoi pas Valérie, Roseline ?
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Continuer ainsi, monsieur le Président, à imaginer qu’un clone de vous-même habitera MATIGNON, c’est finir dans la dérision !
La déraison vous a orienté vers la dissolution qui, je pense que vous l’admettrez, a été une catastrophe, un séisme pour la nation.
Alors, rendez-nous votre verdict, votre choix assumé
et après – comme le disait le président MITTERRAND –
« On verra » !