Aujourd’hui, le Président reçoit dans sa nouvelle émission, le grand oral MATIGNON, les derniers invités à s’asseoir sur le strapontin car il me semble qu’aucun ne veut jouer à un nouveau casse-tête !
Il est acquis que la présidente de l’Assemblée nationale, madame BRAUN-PIVET, élue sur le fil face à André CHASSAIGNE (PC) et Sébastien CHENU (RN) n’a nullement l’intention de prendre un emploi précaire à MATIGNON, tout comme son homologue, Gérard LARCHER qui n’abandonnera pas sa bonne auberge de l’hôtel du SENAT.
Les recalés de l’épisode législatif seront reçus après madame BRAUN-PIVET.
Qualifiés de brigands, Marine LE PEN et Jordan BARDELLA, ne briguant pas le poste de chef de gouvernement, seront « simplement entendus ».
Les « perdants » laminés par ce courant peu démocratique dit "front républicain", genre "barrage aux insectes", que certains brandissent (lors de chaque élection) comme un fer de lance, un mantra contre celles et ceux qui avait recueilli quelque 11.000.000 voix, se refusent de jouer les « bons offices » ! Il est un fait certain, ils ne soutiendront pas un gouvernement issu de la mouvance LFI alors que le marionnettiste Mélenchon tirera les ficelles !
Eric CIOTTI a été également reçu. Lui, préconise l'union des droites ! Les LR reconditionnés chez Laurent WAUQUIEZ ne seront pas de la partie !
Dans sa partie de poker menteur avec le chef de l’État, il a omis de tirer un atout car ce n’est pas UNIQUEMENT qu’une question d’appartenance à la SNC (société en nom collectif) mais plus encore, à celui d’un programme quasi obligé et imposé à l’égérie du moment, Lucie CASTETS.
Et pourtant, ne voyant aucun candidat putatif (ou candidate) dans les rangs de la nouvelle droite et du centre, je laisserais, « si j’étais président de la République… Chanson bien connue » la madame CASTETS se casser la tête pour former un gouvernement !
Attention ! Il est interdit de sortir l’antisèche Mélenchon !
En cas de réussite pour ce premier pas, « pour elle la vie va commencer » !
Fera-t-il, monsieur le procrastinateur, comme avec « le grand débat », l’impasse en remettant toujours à plus tard un choix, il est vrai, difficile et délicat que lui SEUL, par sa déraison, s’est imposé !
Un boomerang, ça vous revient forcément en pleine face !