La presse semble s’emballer sur les hauteurs de COCHEREL pour relater des faits qui depuis quelques mois, alimentent l’appétit journalistique.
Les médias locaux, « La Marne », le « Parisien 77 », le « Moniteur de Seine et Marne » deviennent les chroniqueurs d’une actualité riche en rebondissement dans cette petite commune du Nord Est Seine et Marnais administrée par monsieur Pierre ELBOODE, également Président de la C.C.P.O.
Après la magnifique pièce « Séisme » interprétée par la compagnie du théâtre du Prisme avec deux acteurs exceptionnels dans leurs jeux (Shams El Karoui et Maxime Guyon) à COCHEREL, le titre de l’œuvre semble s’y imposer et résumer quelque peu la situation.
D’une part, le « vaudeville » qu’est « Séisme » se perpétue sous une forme qui pourrait prêter à sourire mais qu’une « assignation par citation directe pour diffamation » n’était ni prévue, ni au menu de la partition à jouer. L’édile a pris pour cible un conseiller en l’occurrence monsieur EMLINGER qui aurait entaché par ses dires l’honneur de sa famille (« Après avoir sali mon nom, la famille Eelbode porte plainte dans une procédure de citation directe en correctionnelle ») en mettant en avant des faits consommés et non consignés dans les actes de la commune depuis des années. « Mais pourquoi donc est-il venu foutre son nez dans mes affaires en ma qualité de Maire ? »
Réponse simple : « La transparence des actes pour rétablir des faits sur les registres communaux » et rien d’autre !
Où se situe l’infamie ?
L’auteur de ces révélations s’est donc vu assigné en justice le 07 août au tribunal de Meaux.
Sans la présence de l’accusateur, mais celle de son premier adjoint, l’audience a été de courte durée car l’avocat de l’édile a fait part de « l’abandon des charges » envers Monsieur EMLINGER.
C’est vraiment un vaudeville ! Faut-il en rire ou en pleurer ?
Je ne connais pas les arguments de l’un et les arguties de l’autre. Alors, sans commentaires à ajouter !
Une autre affaire, toujours d’après le journal « La Marne » se tiendra au Tribunal de Meaux le 24 septembre où Monsieur ROLIN, adjoint, est lui aussi sous le coup d’une « assignation à citation directe en correctionnelle » par le Maire pour « usurpation d’identité ».
N’ayant aucun moyen de connaitre les fondements de cette accusation gravissime, j’attendrai donc l’audience pour revenir sur ce second acte de « séisme » après un entracte de quelques semaines.
Je me pose cette question que signifie une telle accusation ?
Qu’est-ce qu’une usurpation d’identité au sein d’une délégation dans un conseil municipal ?
Je l’ignore ! Le plaignant n’en a rien dit de plus ! Le secret de l'instruction ?
Pour votre info complémentaire : Lire, l’article de « La Marne »