Entre la guerre israélo-palestinienne à GAZA, entre la guerre du peuple ukrainien face à l’ogre russe, entre LUI, les Kanaks, les Mahorais, la Marine, les pensées présidentielles deviennent une monomanie qui l’éloignent d’un grand nombre de ses concitoyens.
Dans ce conflit, aussi vieux qu’Hérode, je pense que sa retenue sur la grave question de la reconnaissance d’un état palestinien est, à mon sens, acceptable. Je rejoins, pour une fois, sa pensée quand il s’exprime de la sorte : « La reconnaissance d'un État palestinien n'est pas un « sujet tabou » mais qu'elle devait intervenir « à un moment utile » et pas sous le coup de « l'émotion ».
Il faudra bien sortir de cette impasse mortifère où les terroristes du HAMAS retiennent en otage un peuple palestinien qui n’a jamais cherché à s’affranchir de ses oppresseurs. Où le HAMAS abuse de la séquestration abominable, du chantage perpétuel des otages pour gagner un peu de temps face à Tsahal
Tant que le peuple de Palestine n’aura pas pris son destin en mains, la guerre continuera son œuvre de destruction des personnes et des biens. Que restera-t-il de la Palestine ? Un champ de ruines et un peuple à refonder.
Le chef des Armées – c’est un attribut présidentiel – joue, à mon sens, la « provoc » face à un autocrate qui tient à lui donner la répartie, Vladimir POUTINE.
Quand le Président ose parler de l’envoi de la troupe sur les terrains d’opérations, l’homme du KGB, lui balance une menace du genre : « Oh p’tit, sais-tu à qui tu t’attaques ? »
Quand le stratège élyséen demande à ZELENSKI d’utiliser nos missiles « crotale » et « Aster » pour détruire les bases de lancement russe, Vladimir s’empourpre et tacle le Président en le menaçant de se lancer en qualité de belligérant dans une riposte graduelle ! Les Allemands, comme les Américains, restent sur la réserve !
Notre « Napoléon solo » argumente ses propos : « Si on leur dit vous n’avez pas le droit d’atteindre le point d’où sont tirés les missiles, en fait on leur dit, on vous livre des armes mais vous ne pouvez pas vous défendre » ! Ce qui n’est pas dénué de bon sens !
Les voyages – même en simple A/R – entretiennent la jeunesse mais cette pratique sportive coûte très cher au club France. Les Mahorais souffrent de l’invasion comorienne et la Kanakie d’une domination qui deviendrait pesante ! Des difficultés à venir à l’horizon !
Une obsession devenue maladive gagne le Président : Tel un virus qui a muté, la « lépénie » et son clone le « bardéllie » sont les fantômes du Palais !
Il ne se passe pas une minute, sur le territoire, à l’étranger, sans que son aversion profonde envers les figures d’un parti politique élu démocratiquement surgisse. Aller jusqu’à dire lors de son déplacement à DRESDE : « Un vent mauvais souffle sur l’Europe, alors réveillons-nous ! », ou encore « Je n’ai jamais considéré que le RN s’inscrivait dans l’arc républicain »
Que vous n’aimiez ni le RN, ni LFI, ni LE PEN, ni MELENCHON, ni EDOUARD, ni PRAUD, et toutes celles et ceux qui n’entrent pas dans vos jeux, personnellement je m’en fiche ! Moi, j’ai « deux amours » : Ma France, ma famille et Ma France, mes ami(e)s !