Eh oui, certains diront que j’ai un caractère de « ronchon permanent »… Ce qui pourrait être vraisemblable dans certains cas… J’assume !
Comment puis-je ne pas être râleur quand vous vous apercevez qu’il n’y a pas un seul (sur deux) boulanger-pâtissier ouvert en centre bourg le premier jour de !’année ?
Tout le monde ne mange pas du pain rassis de la veille… Tout le monde n’a pas acheté sa pâtisserie hier… Et si j’ai des invités surprises… Je fais quoi ?
Je ne suis pas un adepte du « pain ou gâteau congelé » ! Chacun ses goûts !
Je suis donc allé à CONGIS et la boulangerie était ouverte !
J’ai félicité la dame pour son respect envers la clientèle.
Je devais avoir 19 ans. Le culte du 1er janvier était le repas midi (et soir) chez les grands parents (paternel en ce jour) au 33, rue Jean Jaurès. Le magasin était ouvert en matinée. Les commerces de bouche l’étaient également : Les 3 boulangeries du centre-ville (CAMUS, PARIS, LAFORËT), les 3 Boucheries (COLIN, HOURDRY, BARON), le charcutier (LAMY), la petite boutique (Épicerie GRAGGY)…
C’était encore l’époque où le client était « roi ». Le commerce ? Un sacerdoce à la disposition de la clientèle. Chacun y trouvait son compte !
Aujourd’hui, ce sont les « nouveaux commerçants » qui fixent les règles !
Alors mesdames, messieurs les nouveaux commerçants si le client courre en grande surface, ne gueulez pas !
L’esprit commerçant n’est plus celui d’avant ! C’est dommage…