« Ils » voudraient nous faire croire à un taux de TVA zéro pour les produits de premières nécessités mais les produits alimentaires de « grande consommation » augmentent en ce 1er février ! Il y a comme du hareng dans la gelée de coings !
Mais les aliments fétiches et privilégiés des français, en général, sont-ils aussi des produits de première nécessité ? Pas tous car le « Perniflard » du Midi ou du soir n’est pas une nécessité comme l’est l’eau… La preuve : 1 volume de perniflard pour 4 volumes d’eau ! Et le « clacos » mon bon monsieur ? Avec un p’tit coup de pinard, une miche de baguette, le béret sur la tête et vous voici bon franchouillard ! Que les « industriels » de la pâte à clacos payent au juste prix le lait des petits éleveurs, je l’admets malgré tout.
Je vais jouer les affreux égoïstes (pas les moralisateurs car chacun est libre d’apprécier un produit pour sa santé…) mais le « Nutella » est-il un produit hautement utile pour le classer dans les produits de première nécessité ? J’ai un doute… Idem pour la boisson préférée des mômes et moins mômes le COCA avec ou sans COLA !
Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, l’a « admis » mercredi matin : le 1er février, des hausses de tarifs vont intervenir sur 4% des produits alimentaires de grande consommation. La communication semble absente chez les gouvernants. Lady Marlène n’était pas en représentation chez des people quand la nouvelle loi « Alimentation » a été votée ! La raison évoquée ou invoquée ? Le relèvement à 10% du «seuil de revente à perte». Le gouvernement compte ainsi obliger les distributeurs de la Grande distribution à vendre même leurs produits d’appel à des prix supérieurs d’au moins 10% à ceux auxquels ils les ont achetés, et à cesser les ventes à perte.
Je ne savais pas que le NUTELLA était un produit issu de l’agriculture ! Des pieds, des fleurs de NUTELLA, je n’en ai pas encore vu. Ce seraient des « pousses mottes » new lock qui cultiveraient ce produit revendu par FERRERO, le leader « price » italien avec ses marques Kinder, Mon Chéri et Tic-Tac !
Et les carcasses de vaches malades (où sont les organismes de contrôle européens ?) que nos amis polonais vendent à nos industriels « transformateurs » de produits de première nécessité ? Sont-elles déjà dans les sauces bolognaises, les raviolis pur bœuf, les bas morceaux à braiser ? Non, ce n’est pas du hors sujet mais du contemporain ! Nos éleveurs n’ont que des bêtes saines mais quand on peut sauter sur l’occase pour faire du gras… Ils n’hésitent pas les bougres de l’agro-alimentaire. Si ces mastodontes de la malbouffe baissaient leurs marges et les reversaient aux producteurs… Monsieur GUILLAUME n’ose pas mettre la pomme sur sa tête… TELL n’est pas le cas !