Je vous en bouche un coin, n’est-ce-pas ! Vous ne la connaissiez pas celle-ci ! Elle est inédite et fait partie de mon répertoire ! Non, je n’étais pas maître chanteur mais tous mes amis me disaient : « Pas de problème, tu as une voix faite pour écrire » ! Alors, je les ai cru(e)s !
Ce n’est pas une valse à mille temps !
Au premier temps de la valse, c’est François HOLLANDE qui dérapant sur le parquet ciré de la grande salle des fêtes du palais se fait une grave entorse aux us et coutumes de la 5ème ! Déjà emplâtré pour son manque d’action dans les sondages, déjà malmené par sa Cour qui hurle à la trahison, il dérape et se casse la gueule ! Il décide donc de s’éloigner des affaires et choisit de postuler à la retraite normale et non à celle déshonorante d’un combat perdu.
Et là, la musique s’emballe !
Au deuxième temps de la valse, lors de la présentation finale du futur élu au peuple de France, le petit Fillon se trouva propulsé sur le plancher du bal des revenants. Il commençait à peine à faire quelques pas avec sa dulcinée, Pénélope, que l’éclair des projecteurs lui tombe dessus ! Lui le candidat à la probité sans faille, le monsieur propre de la politique se ramasse une baffe qui l’envoie au tapis. La valse lui a fait tourner la tête ! Encore un peu groggy de son périple en terre réunionnaise, il essaie de reprendre les choses en main en imposant à « ses barons, petits laquais, issus de familles si différentes » une discipline de fer. Il use, en sus, du verbe « gaullien » : « Ce sera moi ou la chienlit » en se désignant comme celui qui sera le seul et unique prétendant au grand bal de la nation. Pour l’instant le deuxième temps semble se poursuivre avec un emplâtre gênant !
Au troisième temps de la valse, un autre prétendant, éconduit – ou tout simplement incompris - depuis des années pourrait entrer dans la danse ! Il se prénomme François, comme les deux autres mais lui n’est pas le valseur parfait. Sa culture basque le porte davantage vers le folklore. Ce troisième temps ne serait donc pas le bon tempo !
En cet instant, les flonflons ne sont pas d’actualité. C’est la valse triste !
Puis-je vous offrir un moment de réconfort ? Ce sera, extrait de « Casse-noisette » (pas de casse-bonbons, enfin je l’espère !), la célèbre « valse des fleurs » ! Merci Tchaïkovski !