Dans la nuit du 8 novembre 2016, un séisme de grande magnitude a été enregistré loin de la tumultueuse faille de San Andréas (Californie) ! Le choc enregistré des plaques urticantes que furent la plaque Clinton et celle de Trump a été d’une ampleur qui a mis K.O tous les analystes et spécialistes de la prévision !
Le populiste TRUMP est devenu le 45ème Président des Etats à réunir ! Il aura du boulot ! Le peuple américain jugera à l’usage et, contrairement à tous les commentateurs qui s’expriment tant dans l’allégresse que dans le catastrophisme, je ne retiendrai qu’une chose : la « volonté » - réelle ou fausse ? – de rassembler le peuple. J’entends déjà : « Pauvre idéaliste que tu es ! » L’espoir peut aider à faire vivre sans pour autant perdre toute notion d’une réalité autre : « Nous - le peuple - refusons l’ordre établi par des politiciens (ou ciennes) qui ne pensent qu’à eux et à leurs fans clubs tout comme nous rejetons la pensée unique qui n’a rien d’universelle » !
Qu’en sera-t-il pour nous Française et Français quand l’heure du choix sera venue ? Allons-nous, comme aux Etats Unis marquer notre mécontentement (il sera toujours présent et ce, quels qu’en soient le candidat, le parti !) par nos excès, nos outrances, notre indécision à porter au pouvoir celle qui n’aurait rien d’un recours mais plus d’une fuite en avant ? Allons-nous continuer à perpétrer l’usage du « moins pire » ? Arrêtons de jouer dans cette catégorie ! Serions-nous incapables de relever le défi d’élire une femme ou un homme qui, par adhésion à un programme réaliste, pourrait permettre à chacune et chacun de s’y retrouver, de s’y reconnaître ? On sait, dans bien des cas, pratiquer la « synthèse » des idées, des courants. Pourquoi pas celle des humains ?
Non, je ne voudrais pas que nous empruntions cette voie voulue par le peuple américain.
Mesdames et Messieurs les « médias » soyez très attentif à vos prises de décision journalistique ! Rien n’est joué en matière de sondage. La preuve ? Vous venez de la voir et vous l'avez eue !