Papy fait plus que de la résistance : Il entre en guerre ouverte au sein du parti qu’il avait porté sur les fonts baptismaux en 1972. Voyant que son fonds de commerce se repeint en « Bleu Marine », il se teinte en rouge écarlate et lâche un brûlot dans un canard boiteux du nom de « Rivarol ».
La « mutation transgénique » opérée par sa fille laisse le président « d’horreur » – pour ses dérapages contrôlés – sur le banc. Lui, avec sa grande gueule, ses sorties de route à répétition, ne veut nullement être mis hors-jeu ! Il reste bravache : « C’est moi le Chef ! J’y suis, j’y reste ! Je persiste et je signe ! Et, ce n’est pas demain, que vous m’éjecterez du trône ! »
Du « catéchisme LE PEN », on passe au schisme tout court ! C’est la déchirure !
Il est à rappeler que ce parti ne sera jamais un parti de gouvernement – vœu cher à Marine contrairement à Papy qui se complaît dans le rôle de l’opposant sans rien proposer de sérieux si ce n’est que caricatures et impostures – car nos institutions ne sont fondées que sur le « bipartisme ». Pour passer ce cap, il faudra, au Front National, trouver des « alliés » ! Gouverner avec Qui ? C’est la grande question !
La déchirure a pour origine la mise sur la touche de Papy aux régionales PACA. Ce n’est pas à 87 balais que l’on essaye de rentrer dans la danse pour gérer une région alors que toute sa vie, il a refusé les « responsabilités » !
La guerre fait et fera rage dans le camp lepéniste. Qui en sortira indemne ?
Je ne tiens pas à me mêler des « affaires de famille », car je ne suis pas de cette famille politique ! Valls et Sarkozy comptent les points en coulisse.
Faites vos jeux, rien ne va plus ! Allez, papy retourne à Vichy faire une cure !