Je peux continuer, ne vous en déplaise, à décliner les civilités vous concernant car elles recouvrent toute la personnalité que vous représentez comme : Monsieur le paysan béarnais, Monsieur l’historien au panache blanc…
Je me prénomme Jean Michel, je suis un français dit « moyen », de taille normale un peu rétrécie par le poids des ans, au QI dans la moyenne, je suis un vieux Lizéen (localité située au nord-est de la seine et marne), j’ai un gros défaut, j’écris !
Oui, monsieur le Palois, je porte sur le papier, sans langue de bois, le ressenti d’une situation à un moment donné.
J’ai participé activement à la rédaction du cahier de doléances de ma commune mais celui que j’ai remis à la sous-préfecture de MEAUX est certainement classé au rayon « souvenirs macronien » !
J’interviens sur des sujets qui peuvent être soit spécifiques (au moment « t), soit généraux.
Je m’intéresse à la vie « politicienne » plus que politique car cette noble notion disparait de notre langage coutumier.
Ma vie personnelle et professionnelle n’a guère à être un sujet narratif.
Je préfère rester « discret », non par timidité car, hélas, je suis trop extraverti mais par simple pudeur !
Bien loin de moi la recherche d’une notoriété, d’un titre quelconque, mais j’éprouve le besoin, oui, une véritable nécessité, de noircir du papier en exprimant un sentiment de désarroi, de malaise, d’incompréhension, d’interrogation face aux événements que l’actualité se charge de balancer pleine bille !
Devrais-je m’excuser d’être quelque peu exaspéré par « l’image » d’un premier ministre qui succède encore et encore à ses prédécesseurs éconduits et conduits vers la « sortie » ? D'être un "insatisfait perpétuel" ?
Par déférence, peut-être mais rien ne m’empêchera d’émettre quelques critiques au regard de la « politique » que vous pensez mener.
Je ne m’intéresse pas aux « futilités » qu’un homme de rang peut commettre ; PAU plutôt que Mayotte ne m’a pas choqué car faire du « Darmanin », qui au moindre bruissement saute dans l’avion pour commenter à sa manière l’événement, n’est pas toujours la « bonne méthode » pour essayer d’apporter du soutien à la victime.
La compassion, l’hommage, ne sont que des paroles et non des actes.
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J’ai écouté des « extraits » de votre profession de foi, de votre déclaration de politique générale et dois avouer que le bon « démocrate-chrétien » que vous êtes ne m’a rien appris de transcendant, de sensationnel.
Le conclave est une institution que vous semblez vouloir privilégier. Vous jouez au « flash », moi je suis cash ! Vous êtes un spécialiste du tango pyrénéen, un pas en avant, deux en arrière ! Une miette par ici, l’autre par-là ! Une ouverture conditionnée ici, une réouverture inconditionnelle là !
Vous êtes un homme de lettre remarquable mais êtes-vous un homme d’action car c’est de l’action que, NOUS citoyens, demandons ? Le « blablabla », c’est le langage, la parlotte la ritournelle de tous les politiciens et je dois avouer que vous avez du « métier » !
Le bateau « FRANCE BAYROU » n’est pas un IMOCA engagé dans la course du « Vendée Globe » mais dans une course infernale où les tumultes sont devenus pressants et présents.
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Cependant, sur ce frêle esquif, coquille de noix brinqueballée par vents et marées, face aux vagues scélérates, tiendrez-vous 64 jours, 19 heures, 22 minutes, 49 secondes ?
Dans l’instant, je ne pense pas qu’une telle vague, qu’une déferlante, fera chavirer votre embarcation. Vous irez certainement de Charybde en Scylla jusqu’à fin février.
Pour franchir la ligne d’arrivée, il vous faudra abandonner la dérive, la godille et couper la ligne rouge de la censure du NFP et d’autres badauds peut-être.
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Tout n’est pas de votre fait.
L’homme à qui vous avez tordu le bras en porte une grande responsabilité !
Fatigué d'être une victime collatérale de tous ces atermoiements, toutes ces compromissions, toutes ces « ententes éphémères » de vos politicards, oui, j’exprime un profond ras le bol de voir notre pays aller à vau l’eau.
Il y a un fait que vous semblez avoir ignoré : Pour gérer un pays, il faut savoir prendre le temps d’écouter attentivement ceux qui le peuplent !
Votre « patron » l’a profondément ignoré lors de SA séquence « gilet jaune » !
Les résultats sont là !
N’écouter que celles et ceux qui ne tiennent qu’à conserver leur statut sans stature est synonyme de foutage de gueule !
Attention aux « liaisons dangereuses » !