Eh oui, entre Monsieur le maire et moi,
42 années nous séparent !
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Ce n’est plus un conflit de génération, c’est toute une page d’histoires !
Il n’était même pas né quand j’ai pu vivre la chienlit de mai 68 ! Évidence !
Lui a fait son « parcours politique » dans les salons quand moi je me battais contre le « gauchisme et l’anarchie » dans les rues et les campagnes !
Je suis entré tôt dans ce monde que je vais qualifier de « pourri » après bien des années d’un militantisme aveugle.
J’ai « suivi » les traces de l’engagement sincère de mon grand père auprès du Général, de Bertrand FLORNOY, de bien d’autres, j’avais 18 ans !
Je n’ai jamais caché ma sensibilité droitière et j’étais fier d’arborer mon blouson aux couleurs chiraquiennes au marché de Meaux comme à Lizy !
La passion, avec l’âge, s’est émoussée !
La raison l’emporte aujourd’hui.
Tout ceci pour expliquer ma différence de vue avec Maxence GILLE qui s’est trouvé « heureux » après cette célébration du la fête Nationale !
Il me semble avoir entendu dire que c’était « le changement » ! Oui, j’ai vieilli !
Sans en revenir à 40 ans en arrière où la clique lizéenne (hommage posthume à JM FAUVEL) et les majorettes de Danièle LACHENAL donnaient l’aubade devant le 19 rue Jean JAURES, maison de Michel CHAVATTE, maire, le 14 juillet était une véritable rencontre entre le citoyen et l’élu.
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Je ne me permettrai pas de critiquer cette interprétation libre de la fête nationale du 14 juillet mais je ne l’assimile pas à la fête de la distribution des Prix de l’école des garçons (aujourd’hui MONET-DES), où les bons élèves se voyaient remettre le livre à la couverture cartonnée rouge comme « prix » par le père « Tutu » et madame THOMAS !
Je repense à ces revues de casernement des Pompiers où je revois encore l’image de Jean RUDET (« La toune ») et son équipement d’homme-grenouille ! Tout ce matériel, tous ces volontaires qui savaient être là pour nous sauver sans oublier la Gendarmerie qui veillait sur notre tranquillité.
C’était tous ces lampions, ces drapeaux tricolores qui pavoisaient au son de la musique et des figures des majorettes !
Je regrette une seule et unique chose :
Un simple dépôt de gerbe aux monuments aux Morts
et
une Marseillaise !
Le « vieux con » va se faire vilipender mais il assume !
Il est logique d'avoir des différences sinon la vie serait d'une telle tristesse ! Elle l'est déjà !