Il y a comme de la grogne dans l’air…

Eh oui, il n’y a pas que le virus dans l'air… Le feu couve dans les chaumières des nains de la distribution ! Ils ne sont plus sept mais des centaines à ronger leur frein car beaucoup se sentent les victimes désignées alors que l’on ne peut pas être affirmatif en leur imputant le regain de jeunesse de la Covid qui nous frappe.

Les premiers à ruer dans les brancards furent les «libraires ». Il est vrai que priver les gens de lecture en période forcée de repos est une aberration ! A l’école nationale des ânes, le bon sens n’est pas enseigné. Il n’est même pas une option ! Cette fronde – sans Thierry – a eu pour effet un retour en arrière d’une décision inique. La preuve de ce retrait, la voici : Notre grande surface s’est pliée à la mesure !

Et puis, c’est l’effet « boule de neige » qui s’avance. Les marchands de jouets – victimes eux aussi de cette concurrence déloyale – demandent purement et simplement le retrait des jouets des rayons des grandes surfaces !

Viendront ensuite les fleuristes… Et qui d’autres après ?

Ces secteurs d’activité viendraient-ils de se rendre compte que la grande surface les prive de parts de marché ? Si la covid ne s’était pas invitée dans leur quotidien, ils se seraient tus ! Je cauchemarde !

Comprenons que la grande surface est devenue le temple de la consommation et ce, depuis bien des années. Les centres bourgs des villes moyennes, des communes rurales, se sont vidés de tout le tissu du petit commerce. Les bleds se meurent, les zones d’achalandage fleurissent et bien souvent avec le concours des collectivités territoriales qui pratiquent le double langage !

Qui ne le pratique pas ? Ne cherchez pas, c’est le mal français.