L’homonymie peut jouer bien des tours !

« Bel Ami » - sans aucune forme de publicité – est l’un des parfums phare d’Hermès.

Dans la mythologie grecque, Hermès est une divinité de l’Olympe et le messager des dieux, donneur de la chance, inventeur des poids et des mesures, gardien des routes et carrefours, dieu des voyageurs, des commerçants, des voleurs, des orateurs et des prostituées. Il conduit les âmes aux enfers !

Le BELLAMY, de son prénom François Xavier, dont je vais parler n’est pas un ersatz de chez Hermès, il est tête de gondole aux élections européennes de mai 2019 et selon de récent sondage (on y croit ou on n’y croit pas…) il ne parfume pas l’atmosphère lourd de cette future campagne.

Ce soir, un premier round test débutera sur Antenne 2 à partir de 21 h. Il affrontera les 11 autres têtes de gondole. Dieu et sa grande miséricorde veilleront sur l’intellectuel qu’il est.

Les ébats – car pour un réel débat serein, on repassera – ressembleront à une partie de ping-pong où chaque camp se renverra la balle ! Sera-t-il, lors des quelque 13 minutes accordées à chacune et chacun, le pacemaker d’une droite qui court après son ombre ? Sera-t-il le messie (pas le ballon d’or !) tant attendu (on approche de Pâques à grandes enjambées) qui ressuscitera la droite ? C’est le choix de WAUQUIEZ qui vaque à ses occupations de chef qui se voudrait charismatique. Bon ou mauvais, l’avenir le dira.

Que de jeunesse quelque peu inexpérimentée qui se lance dans le défi européen. Que d’intellectuels aussi ! J’ai toujours en mémoire cette répartie drôle dans un « taxi pour Tobrouk » : « Deux intellectuels assis vont moins loin qu’un con qui marche » ! Que de technos en puissance également ! Mais où sont les pragmatiques qui connaissent les rudiments, les finasseries des groupes politiques qui composent cette assemblée ? Oui vous allez élire une liste NATIONALE qui se fondra dans un groupe européen fait de plusieurs individus qui n’auront pas toujours la même vision que celle des gens qu’il représente !

Alors, je vais passer deux heures à m’agiter !

Guerre pour guerre, je crois que j’aurai préféré voir et revoir « les douze salopards » !