Comment, vous ne connaissiez pas le « Sarkoland » ? Juste un simple oubli de votre part ! En fait, ce n’était pas une extension du Disneyland de Marne la Vallée mais un nouveau parc des « Princes » où quelques spécimens de la gente politicienne évoluaient en 2012. L’entrée n’était réservée qu’à certains affidés car le ticket y était cher !
Aujourd’hui ce lieu est en cessation de paiement. Une enquête a été diligentée. Les « pions » - comme certains les désignent – sont à la recherche de pièces à conviction et surtout des « euros volatils » qui auraient pris la poudre d’escampette vers d’autres horizons ou destinés à d’autres satisfactions. Dans ce clan plus que privilégié, les acteurs – enfin certains mais sans certitude car la présomption d’innocence aux mains pleines est la règle – auraient jouer à « Qui veut gagner des millions ». La presse – toujours pressée d’une UNE – parle d’une trentaine de millions volatilisés. Les fins limiers sont sur des pistes mais secret d’enquête oblige.
Le principal responsable de ces méfaits serait l’un des perroquets transgéniques issus de la race des « Bygmalion » qui évoluaient au-dessus d’un nid de coucou. Il semblerait qu’ils étaient 13 dans la volière ! Un chiffre porte-bonheur ! Attention, ça se vole dans les plumes ! Et comme prévue, la chamaille – maladie chronique des perroquets politiciens – intervint. Un coco se rebella : « Moi, porte-chapeau, n’y songez guère ! » Il ne supportait plus son régime drastique de cacahuètes pour lui éviter l’accident cardio-vasculaire ! Il n’était pas cardiaque ! Mais de l’arachide, il n’en voulait plus ! Les « huiles » attablés se partageaient le gâteau quand lui se devait de se casser le bec pour en extraire la gangue ! Alors, comme tout perroquet, il a parlé : « Coco veut sa part, Coco veut sa part… » Quelle part ? Celle de la « vérité, si je mens » ! Et de cet instant est né le scandale du jardin Sarkoland où les effluves des plantes de l’Eden s’étaient métamorphosées en remugle d’un vieux fromage à croûte lavée ! Il ne pouvait pas être un vieux Brie noir car il n’a pas d’odeur…
L’une des « victimes collatérales » de cet imbroglio devenu politico financier a été blanchi et lavé de tout soupçon aux yeux de la Justice. De cette décision, il en a fait, aussitôt, un « sursaut » pour s’engager sur les bancs de l’équipe de France 2017 en déclarant que « s’il avait été mis en examen, il aurait renoncé à figurer sur la liste des joueurs » … Que de Meaux malheureux !
Une autre – et pas des moindres – n’a pas eu droit à la même clémence des « pions ». Elle se trouve « mise en examen » – avec toujours la même présomption d’innocence - pour financement illégal d’une campagne électorale avec dépassement de compte de campagne. A cette casserole noircie s’ajoute son statut de « témoin assisté » dans l’affaire dite des « écoutes » … Il pleut, il pleut bergère, rentre tes blancs moutons ! (Ceux de Panurge feront l’affaire)
Tous les regards se portent dorénavant sur la suite à donner du syndic (avant 2017, s’il vous plait) car le « Sarkoland » n’est plus. Le terrain est tellement miné qu’aucun repreneur ne s’y aventure. Non ! La vingtaine de millions n’y est pas enfouie ! A ce jour, rien n’a été trouvé ! Oui, c’était bien des euros volatils… Certains pensent qu’ils auraient pu être utilisés pour embellir la Place de la Concorde lors d’un meeting high Tech où « l’autre » s’exprimait. A savoir !
On n’a bien retrouvé quelques « fausses pièces » mais point d’euros ! Où sont-ils passés ? C’est en suspend !
Bien que mis à mal par ces assignations à répétition, « l’autre » n’a qu’un pied à terre (et, au cas où, une maison de retraite au Cap Nègre). Son tempérament – il en a à revendre – ne lui fera pas courber l’échine ! Armé de son excellent avocat, il disposera de bien de ressources pour se ressourcer et croiser le fer. Jusqu’à preuve du contraire, il ne désarmera pas. Il a tellement envie d’en découdre avec son figurant remplaçant actuel qu’il veut rejouer aux français que nous sommes « le revanchard » !
Mais l’image reçue risque d’être écornée !
Le « Sarkoland » n’est plus un lieu mythique. C’est un lieu de mystère mais rien n’indique que « l’autre » sombrera dans un « Sarkofage » !
Admirez, au passage, ma refonte libre de l’orthographe !