Lors d’une visite journalière à St HUBERT, j’ai croisé le cycliste Claude CAMUS qui effectuait certainement son petit tour en bordure de rivière.
Nous avons eu l’occasion d’échanger quelques mots concernant l’abaissement des eaux de l’Ourcq. « Ce n’est qu’un test de mesure pour corroborer certaines mesures issues du calcul hautement scientifique. » Rien n’est encore défini concernant le scénario (ils seraient au nombre de 3 si j’ai bien compris…) à retenir avant de l’exposer à l’ensemble de la population via une enquête d’utilité publique » !
J’ai eu vent (debout !) des scénarios et je dois admettre que j’ai bien du mal à trouver une logique dans un futur projet écologique ! Suis-je autorisé à en parler librement ? C’est une question que je pose aux membres d’un comité directeur pléthorique.
Les vannes sont lâchées. Vous trouverez 3 petites vidéos de mon cru en guise d’illustration. L’une revient sur les « inondations » de juin 2016 – images tournées aux vannes St Hubert. Non rien de comparable avec les chutes de « Niagara falls » mais débit saisissant ! Les deux autres datent de ce jour (28 oct 2018) : L’une montre l’amont de St HUBERT (en face de l’école des Garçons !) où la pêche à pieds pourrait être autorisée (une vanne en vaut une autre !) et l’autre l’aval à l’ouverture totale des vannages de St HUBERT.
Je vais étudier – tant bien que mal – les scénarios établis avant d’avancer une prise de position qui ne sera que personnelle – dans l’immédiat ! -. Tout sera fonction de l’accueil des riverains, des pêcheurs, des promeneurs, des amis de l’Ourcq. Peut-être découvrons nous, sur les réseaux sociaux, un #touchepasamarivière !
Tout ne peut se faire sans une grande concertation ! Les hydrologues, les donneurs de leçon en écologie n’ont pas les pleins pouvoirs pour mettre la population concernée au garde à vous ! Nous passons à gué… sans bac + 5 !
A suivre !
Un souvenir qui aurait pu être cuisant ! Quand la MARNE picole, l'Ourcq TRINQUE !
En amont de St HUBERT ! Après le ponton Michel BREANT.
Ce n'est pas une vanne ! Il n'y a plus de vannes !