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Le blog de J.M DELATTE

Le blog de J.M DELATTE

Je fais l'école buissonnière de la politique ! Ni ragot, ni contempteur, je n'ai rien du journaliste dit classique ! Je prends l'info "au vol" et essaie d'y apporter un éclairage ! Mettre son grain de sel dans "leurs affaires" donne parfois quelques nausées aux faux culs ! Suivez moi et inscrivez vous à ma Newsletter. A moi, comte, deux maux ! A votre écoute, échangeons !


A une autre échelle !

Publié par Delatte JM sur 20 Août 2017, 11:06am

Catégories : #Et si on y allait !

A une autre échelle !

Je ne suis pas le seul à vouloir « réinventer… » Pour certains, c’est la Seine de Paris au Havre quand pour d’autres, ce serait la Marne, mais avec davantage de modestie, car seul un tronçon se situant entre Tancrou et l’écluse d’Isles les Meldeuses pourrait entrer dans cette réinvention d’une autre époque !

Je vous livre le champ d’une lecture découverte dans le dernier numéro du magazine « Marianne ». En voici des extraits qui méritent une attention particulière : 

Une dynamique est lancée (quelle chance ! Et nous, et nous et nous…)

Un appel d'offres, baptisé « Réinventer la Seine », couvrant le fleuve depuis la capitale jusqu'au Havre, via Rouen, a désigné 20 projets lauréats, actuellement exposés au musée de l'Arsenal, à Paris. Directrice d'études à l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur), chargée par Anne Hidalgo d'identifier neuf sites de baignade à Paris intra-muros, Patricia Pelloux explique avoir cherché à concilier les critères d'attractivité, d'accessibilité, de sécurité et de diversité.

D'ouest en est, les sites choisis s'étendront donc du bois de Boulogne jusqu'au port de Bercy, en passant par Javel, l'île aux Cygnes, la tour Eiffel et le port de la Rapée. Une boulangerie flottante est prévue aux Invalides tandis qu'un centre d'art urbain animera le port du Gros-Caillou. Sur le port de Javel, le projet de l'Arche s'étend sur 5 000 m2, dont 2 000 m2 sur l'eau. Proposé par « Why Not Productions » et Rosa Bonheur, qui exploitent actuellement trois guinguettes au pont Alexandre-III, aux Buttes-Chaumont et à Asnières, le projet prévoit d'installer, outre une guinguette, un terrain de squash, et même un potager sur le quai, une très futuriste piscine olympique flottante, modulable et démontable. Exclusivement financé par des fonds privés - le budget prévisionnel s'élève à 13 millions d'euros -, l'ensemble ne sera pas accessible au public gratuitement, explique Sébastien Marques, de Why Not Productions. Hors saison, la piscine olympique sera réduite de moitié pour pouvoir accueillir d'autres activités sur la surface ainsi libérée. A terme, lorsque la Seine sera baignable, une piscine naturelle en libre accès sera ouverte. Une façon pour Paris d'être enfin fidèle à sa devise originelle : « Fluctuat nec mergitur » …

Cependant, et le saviez-vous, la baignade dans nos fleuves (Seine, Rhône, Rhin) est interdite depuis 1923 !

Lire la suite, c’est franchement intéressant et bien français !

A l'étranger, d'autres grandes villes européennes ont toutefois déjà réussi pareille performance. C'est le cas de Bâle, en Suisse. Là, en été, tout le monde peut, sans restriction aucune, se baigner dans le Rhin, souvent après avoir glissé ses affaires dans un sac étanche qui sert de bouée… « C'est l'expérience de Bâle qui m'a décidée à me lancer dans ce chantier olympique », avoue Célia Blauel, adjointe à l'environnement de la maire de Paris. Native de Mulhouse, ville du Haut-Rhin située à quelques kilomètres au nord de Bâle, elle ne peut s'empêcher de relever que, « dans tous les pays qu'il traverse, on a le droit de se baigner dans le Rhin, sauf en France ». Dans l'Hexagone en effet, toute baignade dans le Rhin, comme dans le Rhône ou la Seine, est prohibée depuis 1923. Pour justifier cette interdiction, outre la pollution, les autorités invoquent les dangers de la circulation fluviale. Mais peut-on sérieusement penser que le trafic sur la Seine est supérieur à celui du Rhin ? « Je suis optimiste, clame Célia Blauel, mais il reste deux gros sujets : la qualité de l'eau et la barrière culturelle », qui, selon elle, freinent la prise de conscience environnementale dans notre pays. C'est l'explosion d'une usine chimique sur le Rhin dans les années 80 qui avait précisément accéléré cette prise de conscience en Allemagne.

Cette portion de Marne reconquise pour le bonheur de tous n’aurait pas besoin d’une masse d’argent considérable. Cependant un engagement fort de nos élus, de notre Communauté de Communes, de notre canton, de notre département, de notre Région serait un réel préalable pour lancer ce défi de la reconquête des bords de Marne !

Oui, repartons à l’ASSO des bords de Marne mais pas en affiche uniquement !

Alors qu'attendez-vous ?

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